Seb , de son vrai nom Sébastien Frit, est un youtubeur et producteur français de 27 ans qui es présent sur internet depuis 10 ans maintenant. Il est connu pour parler de sujets variés tels que la musique, les voyages, et les blagues. Cette polyvalence se reflète dans le contenu de sa chaîne YouTube, qui touche à différents thèmes. En effet, Sébastien est capable de divertir son public avec des vidéos drôles et originales. Il est notamment connu pour ses parodies de chansons populaires et ses vidéos de défis, mais il aborde également des sujets plus sérieux, comme la santé mentale, à travers des vidéos éducatives et informatives. Plus récemment Seb a dévoilé sur sa chaine son dernier reportage au Kirghizistan, il nous emmène avec lui à travers les montagnes du Kirghizistan. On y découvre la beauté naturelle du pays, les coutumes locales et la cuisine traditionnelle. Mais au-delà des paysages à couper le souffle, Seb nous invite également à réfléchir sur notre propre vie et notre façon de voyager. Il partage ses réflexions sur l’importance de sortir de sa zone de confort, de se confronter à des cultures différentes et de vivre des expériences authentiques. C’est un message inspirant qui a su toucher de nombreuses personnes, en témoigne les millions de vues que la vidéo comptabilise déjà.
Pourrais-tu nous dire quelle vidéo ou quel contenu t’a fait connaître au départ ?
Je sais que je n’ai pas eu un début où j’ai eu une vidéo buzz qui m’a fait dire que telle vidéo est indétrônable, que c’est mon classique. La courbe est comme ça, elle est timide, mais c’est parce que je suis là depuis longtemps. Avec le temps, j’ai pu prouver avec de nouvelles vidéos. J’ai été un forceur qui a posté plein de vidéos avec mes potes dans ma campagne, on a cassé l’ennui avec ça et à force, des gens ont commencé à me suivre. On n’était pas nombreux, mais on était ensemble, et petit à petit, ça a grossi jusqu’à aujourd’hui. Mais voilà, je n’ai pas eu de gros buzz. Ce n’est pas non plus quelque chose de frustrant car du coup, je n’ai pas un truc collé à moi.
Penses-tu que c’est mieux ainsi ? Parce que le buzz ça monte, ça descend.
C’est ça. Tandis que si tu es dans une constante, tu n’as pas la pression de dire «putain je ne reprendrai jamais autant de vues, autant de likes». Moi c’est timide, je n’ai pas de vidéos à 10 millions de vues, c’est petit mais sûr.
Peux-tu me parler de ton rapport à la musique parce que j’ai pu voir que tu en parlais beaucoup, tu en as fait aussi.
À l’origine, j’ai grandi en faisant du foot. Le seul moment où la musique vient à moi, c’est les entraînements, les potes, etc. Les premières musiques qui m’ont fait kiffer petit, c’est du rap. Tu te retrouves à écouter Skyrock comme tout le monde à l’époque. Mais je n’écoute pas que du rap, j’aime l’électro, les musiques de film, donc l’orchestral c’est quelque chose que j’adore. Peu importe le genre musical, dès que la musique me touche c’est bon pour moi. C’est un moyen de faire passer des émotions, je dirais même que c’est la course aux émotions quand j’écoute une musique.
On a pu voir ta présence au dernier défilé Dior et plus récemment, tu étais à Séoul pour le défilé Louis Vuitton. Je sais que c’est nouveau pour toi, voire fou. Quel est ton rapport à la mode ? As-tu des ambitions récentes dans ce milieu ?
Je ne cours pas après les marques comme si je voulais en faire quelque chose de ma vie. J’aime bien de loin, ça m’intéresse, j’ai mes goûts, mais je sais aussi comment ça fonctionne et que la fidélité est importante dans ce milieu. Donc, je me suis toujours dit que les premiers qui viendront me voir, je serai fidèle et on sera ensemble, je n’irai pas voir ailleurs.
Et cette maison, c’est Dior ?
J’aime beaucoup la maison Dior, ce qu’ils font, dans leur collection homme il y a tout ce que j’aime. C’est visuellement simple, classe et élégant, ce sont des choses qui me parlent. En plus de ça, il y a des liens qui se sont créés avec les équipes, je les aime vraiment bien, ils sont vraiment sympas. Je ne sais pas dans quelle catégorie je suis dans ce milieu, mais je m’en fous, je suis déjà heureux d’en être là. Juste le fait qu’on me prête des vêtements, je suis comme un fou. J’aime bien cette relation, demain je sais sur qui compter si je dois aller à un événement comme le festival de Cannes.
